Languedoc-Tcheco-Mayotte-et plus... Originaire de Fleury d'Aude, de mère tchèque, j'ai vécu au Brésil, en métropole et dans l'Océan Indien. Avec le désir de partager aussi le voyage intérieur, je ne peux me couper des paysages aimés : le Languedoc, La Tchéquie, le Sud, l'Est et les tropiques. J'essaie de toujours apprendre du passé pour espérer qu'un jour les Hommes vivront généreux, sincères, respectueux parce que, pour le moment ils me font plus l'effet de monstres cannibales qui se dévorent les entrailles !
Cantine "offerte"par Chirac. Des parents d’élèves, des enseignants crient au secours, les premiers pour exprimer leur incompréhension, leur inquiétude, leur colère contre une administration arrogante, les seconds parce que FLIQUÉS et menacés, réduits à devoir « fonctionner » ils doivent la FERMER sous peine de répression, de sanctions. L’horizon reste sombre à Mayotte où un effet loupe traduit le délabrement général de l’Éducation Nationale sinon d’un État droit dans ses bottes et plus prompt à régurgiter ses grands principes à l’échelle de la planète qu’à démontrer une once d’empathie pour ses...
RENTRÉE COLLÈGE après trois jours "volés" aux élèves pour reprendre l'expression de nos vertueux crétins du vice-rectorat... PAS DE LIVRES pour les élèves au collège de Sada !!!! Peut-être ont-ils envoyé les vieux manuels à Madagascar ? LES LIVRES qui devaient être là fin août SONT-ILS ENFIN ARRIVÉS au collège de Dembéni ??? Ne laissez surtout pas le soin de donner cette info au Ribouldingue de Kwezi qui se pâme quand Constance Cynique, la vice-recteur, parle si bien du merdier dans lequel elle enfonce Mayotte !!! Bonne année 2017 Kwezi... quant à Mayotte... UN REPRÉSENTANT SYNDICAL EST REÇU à...
« ...La vie est faite de hasards. Tu dis que tu l’as échappé belle quand la foudre est tombée, que tu t’es acaté (1). Moi ça m’est arrivé aussi, ça ! Une fois j’allais à une procession pour faire pleuvoir ; quand nous étions à Maisons, on allait tous les ans aux alentours du 15 août, comme maintenant on allait faire pleuvoir, soi-disant, à une abbaye qui était dans la montagne. On faisait un paquet de chemin, par un sentier et tout d’un coup, un truc d’orage qui roulait de partout. A un moment donné, on s’est mis dans une capitelle, tu sais, une cabane en pierres, et j’ai vu comme une boule de...
Nous devions parler des chevaux de trait, ces compagnons indispensables au travail de nos vignerons et viticulteurs. Mais Louis conduit son propos comme il dirigeait ses chevaux. Il tient à réviser son passé, en prenant le temps nécessaire pour revenir, par touches successives, sur le siècle qui s’est égrené. Avec l’Aude en toile de fond, dans la plaine et dans les Corbières, il prend soin d’éclairer toute une époque de son regard particulier de fils d’immigré. «... Mes parents sont venus d’Espagne, du village de San-Mateu, province de Valencia. Ils sont arrivés en 29, moi je suis né en 30. Pour...
Il est le dernier à avoir mené un cheval à Fleury. Je me suis décidé, à force, à laisser mon golfe clair hypnotique, pour la garrigue, les vignes annonçant le village, à l’intérieur des terres. Sur une des avenues où, près d’un siècle et demi en arrière, les gagnants du grand boum de la vigne ont aligné en si peu de temps les maisons dites de maîtres, avec au moins deux fenêtres de chaque côté de l’entrée qui en impose, Louis l’ouvrier agricole a racheté un lambeau de celle qui fut peut-être la plus prospère de ces propriétés mais qui a fini vendue en morceaux. « I a un tèms que trempo, un que...