Languedoc-Tcheco-Mayotte-et plus... Originaire de Fleury d'Aude, de mère tchèque, j'ai vécu au Brésil, en métropole et dans l'Océan Indien. Avec le désir de partager aussi le voyage intérieur, je ne peux me couper des paysages aimés : le Languedoc, La Tchéquie, le Sud, l'Est et les tropiques. J'essaie de toujours apprendre du passé pour espérer qu'un jour les Hommes vivront généreux, sincères, respectueux parce que, pour le moment ils me font plus l'effet de monstres cannibales qui se dévorent les entrailles !
Vos raccourcis ne vous honorent pas. Vous êtes partial, ce qui est incompatible avec la qualité d’historien. Et si toute la partie recevable est bien étayée de sources, ce n’est pas le cas quand cela ne vous arrange pas… Wikimedia Commons Maritime_boundaries_between_Seychelles_and_France-fr.svg Auteur Sémhur (talk) Il est vrai qu’il faut se méfier d’un historien lorsque, trop subjectif, il se départit de sa neutralité : « …Oui on a bien lu… ». De même est-ce parler pour ne rien dire lorsque vous prétendez « …Il a même réussi à changer la géographie… quand ça l’arrange… » cet Homme Blanc, en italique,...
voyons ! Quand nos dirigeants nous ignorent d'un mépris crasse, Marine Le Pen fait un tabac dans l'île et une député du même bord s'empare d'une question que nos élites trop bien pensantes, oublieuses de la réalité du peuple français, savent brandir, mais à l'international seulement (c'est vrai que là au moins, ils n'auront pas tant de comptes à rendre...). Quelques pistes, manière de réfléchir : C'est vrai que, libéraux pour l'économie, nos responsables continuent de cultiver une tendance "marxo-international-trostkyste" qui les fait prêcher pour tous les damnés de la Terre à condition qu'ils...
« Ci-gît au fond de mon cœur une histoire ancienne, Un fantôme, un souvenir d'une que j'aimais... Le temps, à grand coups de faux, peut faire des siennes, Mon bel amour dure encore, et c'est à jamais... J'ai perdu la tramontane En trouvant Margot, Princesse vêtue de laine, Déesse en sabots... » Brassens. Je suis un voyou. Avec son côté troubadour, l’ami Georges confirme qu’en amour on peut « perdre la tramontane » quand la passion aveugle au point de ne plus savoir où on en est et que "l’entiché(e)" ne maîtrise plus son destin. Plus vulgairement, on peut la perdre aussi, quand, à force de faire...
Ça commence avec une question pour ces champions d’un jeu télévisé où la réponse était « coda ». Papa rappelle aussitôt André Pesqui à la baguette décochant « coda, coda » pour le dernier morceau à jouer. Étonnant mais c’est la deuxième fois aujourd’hui que notre concitoyen pérignanais revient dans la conversation : ce matin, c’était pour dire combien le « directeur de la coopérative agricole » aimait, même adulte, monter des modèles du Meccano. Comme souvent, avec les souvenirs, on passe facilement du coq à l’âne lorsque, se tournant vers maman, il fredonne « ta ta rara, tara tara tarara...(a)...
Préalable : cet article ne présentant qu’une vision extérieure non étayée sur place, les avis et corrections éventuels de participants autorisés seraient bien accueillis. De gorges en bassins, en surface ou sous terre, le Verdouble (1), 46.8 km, se fraie un passage vers l’est et le sud sur la fin, à travers les Corbières plissées, avant de rejoindre l’Agly, non loin d’Estagel dans les PO. Sa discrétion sinon son mystère commencent avec sa source, quelque part sur la commune de Fourtou pour certains, pour d’autres, sur celle de Soulatgé, vers 800 mètres d’altitude, au pied de l’Aibre Naut, 836 mètres,...