... Y REVOIR MA PINCÉE DE TUILES / Fleury en Languedoc
... Y revoir ma pincée de tuiles... (Claude Nougaro)
... Y revoir ma pincée de tuiles... (Claude Nougaro)
Plaisir du grand air quand Cercius sorti des foudres cyclopéens aquitains reste frais. Plaisir des platitudes lagunaires entre la mer, la Clape et le Crès avec le fleuve dans sa trouée, apportant l’eau douce et la vie. Plaisir gâché par ces possédants accapareurs toujours en attraction-répulsion vis à vis du touriste, une contrariété amenant à douter de l'administration du bien public. Que font-ils ? Et s'ils font, pourquoi ne daignent-ils pas communiquer ? L’Étang de Pissevaches où jadis pissaient les sources avant que ne viennent les vaches. L’Étang de Pissevaches avec quelques pins, en bosquets,...
Après le pont de Fleury, les pruniers d’Ente ont été arrachés, les vieux qui restent ne portent pas de fruits, le four à pruneaux n’est plus, la plaine est rendue à sa viticulture comme si c’était une fatalité de ne pouvoir varier les productions... Quand je le dis que depuis quarante ans, « nos » politiques qui nous précipitent dans le mur ne font pas grand chose (1) ! J’attends de voir le cabanon aux chevêches ou chevêchettes qui sortaient au crépuscule, à la queue leu leu. Et là, surprise, non pas pour un trou de plus aux volets mais parce que des arbres sur l’entrée ont eu tout le temps de...
Préalable : cet article ne présentant qu’une vision extérieure non étayée sur place, les avis et corrections éventuels de participants autorisés seraient bien accueillis. De gorges en bassins, en surface ou sous terre, le Verdouble (1), 46.8 km, se fraie un passage vers l’est et le sud sur la fin, à travers les Corbières plissées, avant de rejoindre l’Agly, non loin d’Estagel dans les PO. Sa discrétion sinon son mystère commencent avec sa source, quelque part sur la commune de Fourtou pour certains, pour d’autres, sur celle de Soulatgé, vers 800 mètres d’altitude, au pied de l’Aibre Naut, 836 mètres,...
Avant les jours rouges ou noirs de Bison futé, avant les chassés-croisés de l’été, avant les 50.000 estivants à Saint-Pierre-la-Mer ! FARINETTE JADIS Poème de Maurice PUEL extrait du recueil "Bourgeons précoces, fruits tardifs" (Mai 1988) / http://archeovias.free.fr/litt_01_puel.htm Quand on allait à Farinette, le dimanche, Par ces longs jours d'été, brûlants comme un fournil, Les hommes n'avaient pas chemisettes sans manche, Mais un chapeau de paille et costume de fil. Les femmes à leur tour, s'étaient mises proprettes : Un corsage léger, jupe jusqu'au talon, Une ombrelle, un chapeau, mais des...