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Languedoc-Tcheco-Mayotte-et plus... Originaire de Fleury d'Aude, de mère tchèque, j'ai vécu au Brésil, en métropole et dans l'Océan Indien. Avec le désir de partager aussi le voyage intérieur, je ne peux me couper des paysages aimés : le Languedoc, La Tchéquie, le Sud, l'Est et les tropiques. J'essaie de toujours apprendre du passé pour espérer qu'un jour les Hommes vivront généreux, sincères, respectueux parce que, pour le moment ils me font plus l'effet de monstres cannibales qui se dévorent les entrailles !

CAVANNA ET LES PEUPLES / mémoire de l'Europe

Jean-françois Dedieu
CAVANNA ET LES PEUPLES / mémoire de l'Europe
CAVANNA ET LES PEUPLES / mémoire de l'Europe

Le nom de François Cavanna (1923 - 2014) reste lié à Charlie Hebdo et aussi à Hara-Kiri, le journal « bête et méchant » des années 60 - 70. L’auteur gagne néanmoins à être connu pour le témoignage, à travers sa vie, sur le siècle passé. Ainsi, ce qui pourrait n’être, de sa part, qu’une posture politique contestataire, prend une tournure autrement humaniste et philosophique. Ses écrits autobiographiques, en effet, apportent un éclairage instructif sur un sens commun, une intelligence humaine idéalisés et pourtant loin de transcender les instincts d’êtres régis surtout par l’extraction animale qui...

MAYOTTE, LE CHAOS ! / Mayotte & France en Danger

Jean-françois Dedieu

Derniers développements et infos du jour : * A propos des bandes de jeunes qui parasitent le mouvement de grève, on entend ce matin sur KWEZI parler des "enfants du droit du sol"... autre chose que "les enfants du juge". Le journaliste reprend Rivo, le syndicaliste : "Quand on élève des enfants comme des animaux, faut pas s'étonner de ne pas en faire des agneaux !" ** Un habitant de M’tsapéré se sent ainsi que Mayotte «... depuis longtemps abandonné par l’État.../... que ce soit la droite ou la gauche, ils s’en foutent des nègres mahorais parce que si on était des blancs dans une île on ne nous...

LA GUERRE CIVILE OU LA GUERRE DE LIBÉRATION ? / Mayotte & la France en Danger.

Jean-françois Dedieu

Le 10 avril, nombre de barrages sauvages sur l’île ! Les « jeunes », sinon les voyous... mais quand le pays en fait encore moins ici qu’en métropole contre le chômage, force est d’accepter que la situation délétère ne peut que générer de l’incivilité, des troubles, des violences, du sang. Ainsi une délinquance criminelle vient aussitôt parasiter un mouvement de protestation syndicale exprimant clairement que depuis les semaines de contestation contre la vie chère en octobre-novembre 2011, rien n’a changé. La situation est d’autant plus grave que le département (en titre et pas dans les faits...),...

AVRIL DANS LES TÊTES ET LES TEMPS (suite). / Fleury d'Aude en Languedoc.

Jean-françois Dedieu
AVRIL DANS LES TÊTES ET LES TEMPS (suite). / Fleury d'Aude en Languedoc.
AVRIL DANS LES TÊTES ET LES TEMPS (suite). / Fleury d'Aude en Languedoc.

Et au pays ? Zouzou qui a promené Magali a posté de bien jolies photos de sa balade dans les hauts de Fleury. Il faut bien observer et si la garrigue garde ses habits verts tout au long de l’année, les iris, la salade sauvage, le feuillage neuf d’un azerolier apportent une note tendre au tableau... ça compte quand on est loin et que les vers de Du Bellay nous reviennent, même pastichés, aux couleurs du Sud : «... Plus mon Atax romain que le Loire gaulois, Plus mon petit Fleury que le Paris narquois Et plus que l’eau du ciel, le grenat d’un bon vin.» Pardonnez ces divagations : souvent, tel l'âne...

AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.

Jean-françois Dedieu
AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.
AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.

« Tandis qu’à leurs œuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps..." ciste cotonneux Les souvenirs d’école s’accrochent aux vers et aux rimes qui nous ont bercés, enfants. Le maître (les hommes semblaient alors plus nombreux), souvent, triait, coupait des strophes, ne gardant que par rapport à son exigence et aussi en fonction de ce que nous pouvions assimiler. Si le début du poème « Premier sourire du printemps » de Théophile Gautier évoque mars, la fin dont on ne soupçonnait même pas l’existence, s’ouvre, elle, sur le mois d’avril...

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