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Languedoc-Tcheco-Mayotte-et plus... Originaire de Fleury d'Aude, de mère tchèque, j'ai vécu au Brésil, en métropole et dans l'Océan Indien. Avec le désir de partager aussi le voyage intérieur, je ne peux me couper des paysages aimés : le Languedoc, La Tchéquie, le Sud, l'Est et les tropiques. J'essaie de toujours apprendre du passé pour espérer qu'un jour les Hommes vivront généreux, sincères, respectueux parce que, pour le moment ils me font plus l'effet de monstres cannibales qui se dévorent les entrailles !

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AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.

Jean-françois Dedieu
AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.
AVRIL dans les temps et les têtes / Fleury d'Aude en Languedoc.

« Tandis qu’à leurs œuvres perverses Les hommes courent haletants, Mars qui rit, malgré les averses, Prépare en secret le printemps..." ciste cotonneux Les souvenirs d’école s’accrochent aux vers et aux rimes qui nous ont bercés, enfants. Le maître (les hommes semblaient alors plus nombreux), souvent, triait, coupait des strophes, ne gardant que par rapport à son exigence et aussi en fonction de ce que nous pouvions assimiler. Si le début du poème « Premier sourire du printemps » de Théophile Gautier évoque mars, la fin dont on ne soupçonnait même pas l’existence, s’ouvre, elle, sur le mois d’avril...

AMITIÉ, AMOUR, TOUJOURS ET A JAMAIS ! / Fleury d'Aude en Languedoc.

Jean-françois Dedieu
AMITIÉ, AMOUR, TOUJOURS ET A JAMAIS ! / Fleury d'Aude en Languedoc.
AMITIÉ, AMOUR, TOUJOURS ET A JAMAIS ! / Fleury d'Aude en Languedoc.

« Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d'inoubliables chagrins. Il n'est pas nécessaire de le dire aux enfants. » Le Château de ma Mère. Marcel Pagnol. Une joie, fulminante, celle des retrouvailles inattendues avec André Pédrola, 87 ans alors, un ancien de la rue Trémolières. Grâce à Coursan (Lulu Auret dit Pilule), entre le Canada, Fleury et la Réunion, sur moins de deux ans, une cataracte de mots à rendre jalouses les Chutes du Niagara, les tempêtes du Grec et les cyclones de l'Indien réunis : des échanges qui ont rempli des pages et des pages de bienveillance,...

NON, NON, NON, NON, IL N'EST PAS MORT CAR IL SOUFFLE ENCORE ! (bis) / Fleury d'Aude en Languedoc

Jean-françois Dedieu
NON, NON, NON, NON, IL N'EST PAS MORT CAR IL SOUFFLE ENCORE ! (bis) / Fleury d'Aude en Languedoc
NON, NON, NON, NON, IL N'EST PAS MORT CAR IL SOUFFLE ENCORE ! (bis) / Fleury d'Aude en Languedoc

Suite aux articles « QUI TROUVE LE CERS PERD LA TRAMONTANE... I & II d’octobre 2013, la défense de l’identité audoise impose d’exposer, au fur et à mesure qu’ils la confortent, les arguments contre une globalisation détestable parce que le consumérisme intéressé qu’elle impose va de pair avec le dénigrement du particularisme culturel. Plutôt que d’alimenter en commentaires les articles concernés (accessibles d’un clic sur les liens ci-joints), un extrait de la REVUE FOLKLORE 1972. https://www.facebook.com/fleuryaudelanguedoc/posts/692089987470599:0 https://www.facebook.com/fleuryaudelanguedoc/posts/696016180411313:0...

« Y’ A PAÏ MAÏ DE SÉSOUN ! »

Jean-françois Dedieu
« Y’ A PAÏ MAÏ DE SÉSOUN ! »
« Y’ A PAÏ MAÏ DE SÉSOUN ! »

« Y’a paï maï de sésoun ! » Oui, je sais, j’ai eu la cagne de poursuivre Carnaval alors que les écoles de Fleury, de sortie dernièrement, en donnaient l’occasion... Pardon si mon être revient toujours dans les vignes, devant le tapis blanc de diplotaxis fausse rouquette piqueté du jaune et de l’orangé des petits soucis qui résistent si bien aux gelées... Mais là j’en suis encore resté aux vrais hivers, c’est ce qui arrive à partir d’un âge certain et nos petits soucis n’ont plus guère à batailler semble-t-il,contre la méchante saison. Le manque exacerbant l’envie, n’avions-nous pas déjà le goût...

L'AMANDIER DE JANVIER / Fleury d'Aude en Languedoc

Jean-françois Dedieu
L'AMANDIER DE JANVIER / Fleury d'Aude en Languedoc
L'AMANDIER DE JANVIER / Fleury d'Aude en Languedoc

Je suis l’enfant des marges et des armasses, celui qui court les talus et garrouilles, celui dont le tic-tac interne s’emballe, dès que Nadal confirme les jours plus longs d’un « pè de gal », d’un pied de coq. Attaché à la terre comme à une mamelle, j’arpente les ceps comme on vendange, heureux d’en tirer ces porrès sauvages, ces petits poireaux de vignes. Quel plaisir ensuite, de rassembler les petites bottes au bout de chaque rang et de se régaler à l’avance du cadeau fait par mère Nature. Mais les poireaux montent vite en graine et plus vite encore quand apparaissent l’erbo blanco (1) et les...

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